Au cœur de la Sainte-Baume, entre forêt, truffière et vignes, un château du 19e. S dans un parc de 5 000 m² aux arbres centenaire
Dans la partie occidentale du département du Var, au sein du parc naturel régional de la Sainte-Baume, à 45 km de Marseille ou d'Aix-en-Provence et du bord de mer méditerranéen, le domaine s’inscrit dans le riche paysage historique d’un haut lieu de pèlerinage, à proximité d’un terrain de golf. Deux barres rocheuses – la Sainte-Baume, d'une part, le mont Aurélien, de l'autre – délimitent le territoire de la commune où il est implanté, dont 75 % sont constitués par des zones boisées. Il est par ailleurs à 1 h de l'aéroport Marseille-Provence, 5 min en voiture du centre du village le plus proche et de ses commerces et 10 min des axes autoroutiers.
Une grille à l’entrée de la propriété, qui s’étend sur près de 5 000 m² de parc arboré formant un cadre enchanteur et empreint d’histoire, ouvre sur deux allées. Celles-Ci mènent à l’entrée principale de l'édifice et à deux espaces de stationnement, d'une capacité d'environ soixante véhicules. Non loin, au sein du parc, parsemé d’arbres centenaires, qui entoure la demeure, se trouvent des dépendances, une cuisine d’été, un bassin de nage et un terrain de pétanque.
L'origine du domaine remonte au 19e s. – plus précisément à 1867 –, époque à laquelle Napoléon Bonaparte ordonna sa construction dans le massif de la Sainte-Baume, lieu de culte chrétien depuis le 11e s., pour sa seconde épouse, Marie-Louise d’Autriche, de la famille des Habsbourg, petite nièce de Marie-Antoinette, très pieuse.
Élevé de deux étages sur rez-de-chaussée, le château se caractérise par son plan carré et ses trois tours – deux rondes et une quadrangulaire –, qui contribuent, avec ses divers ornements, à son allure, majestueuse et unique.
Les façades du château sont composées d’un grès beige et gris enduit qui participe à l’aspect imposant des trois tours, surélevées et ornées de sculptures de la Vierge Marie. Les chaînages d'angle et les encadrements de baie sont en pierre de taille. Les toitures des tours, à quatre pans d'ardoise ou en poivrière, ont été rénovées en partie tandis que celle du corps principal est à deux pans de tuiles canal. Elles sont soulignées d'une corniche moulurée et par endroits sculptée, tandis que, un niveau plus bas, un bandeau d'étage sépare rez-de-chaussée et étage sur la façade principale, orientée au sud. Les tours rondes sont également rythmées par deux bandeaux et une corniche, très sobres.
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